Nous ne disparaîtrons pas
Ce spectacle a été crée à la Maison de Quartier de Chailly du 7 au 10 février 2019, comprenant aussi des scolaires. Puis, il est parti en tournée au Théâtre Waouw à Aigle du 15 au 17 février 2019.
D'APRÈS DES TEXTES DE
Falk Richter / Dennis Kelly /
Alexandra Badea
MONTAGE & MISE EN SCÈNE
Claire Nicolas
DRAMATURGIE
Laure Hirsig
JEU
Loredana von Allmen - Laetitia Barras
Sandro De Feo - Lucas Savioz
CHORÉGRAPHIE
Judith Desse
SON & LUMIÈRE
Jean-Etienne Bettler
CAPTATION ET TEASER
Anaëlle Morf & Alexandre Frager
PRESSE & COMMUNICATION
Marion Police
CREDITS AFFICHE & VISUEL
Camille Sauthier, Atelier Valenthier
Sophie Brasey, portrait affiche
Les oeuvres théâtrales de Falk Richter, Dennis Kelly & Alexandra Badea sont publiées et représentées par l'Arche, éditeur et agence théâtrale www.arche-editeur.com
Suite à une résidence de deux semaines, ce projet a pu être présenté les 2 & 3 octobre 2017 au Théâtre de l'Oriental à Vevey, sous la forme d'une maquette, qui a donné lieu à une programmation pour cette saison 2018-19.
Avec le précieux soutien de
La Loterie romande
Le Canton de Vaud
Ernst Gönner Stiftung
Jürg George Bürki-Stiftung
Fondation Engelberts
wemakeit.ch
Sur un plateau presque vide évoquant le monde virtuel, quatre comédiens s’amusent à rendre visible un décor qui n’existe pas. Une effervescence joyeuse et communicative s’installe entre eux et nous transmet une certaine idée du partage et des relations que nous entretenons les uns avec les autres. Ils nous parlent des bouleversements que traverse notre époque, nos modes relationnels, parfois violents et glacés. Ils s’interrogent sur le désir, l’intimité, leur rapport au monde, dans une société qui cherche la facilité et l’instantanéité dans tout et pour tout.
A travers les textes de trois auteurs vivants, la Cie ÜBERRUNTER propose un spectacle qui évoque la multitude de possibilités de communiquer entre nous et questionne la qualité des liens créés depuis l’avènement des réseaux sociaux et des nouvelles technologies de communication.
La pièce ne prononce pas une sentence, elle se veut questionnement. A travers des trajectoires individuelles, elle propose de réfléchir à l’impact du système actuel sur notre manière d’interagir, de tisser des liens et questionne aussi les notions de désir et celle de la solitude: comment vivent-elles à l’instantanéité généralisée? Comment les prenons-nous en compte? Dans le monde réel? A travers des écrans? Est-ce que c'est ça être connecté avec les autres aujourd'hui? Matériellement? Sensuellement? Sommes-nous arrivés à un point de non-retour? Ou y a-t-il d'autres possibles?